Les dégâts des fake news sur l'écologie
Dans le monde le changement climatique fait plein de dégâts à cause de la pollution (les plastiques, les bouteilles, les voitures et les usines, ... ). Les réseaux sociaux et internet diffusent beaucoup de fakes news sur les changements climatiques .
Pourquoi parle-t-on un changement climatique ? Faut-il s’inquiéter ?
Greta Thunberg, une jeune fille suédoise qui a 16 ans, a appelé les enfants du monde entier à agir pour les changements climatiques et elle a fait aussi régulièrement des manifestations sur le climat. Elle raconte qu'elle devait avoir 8 ans quand ses professeurs de l'école lui ont montré des films et des photos d'ours polaires affamés et des morceaux de plastique dans l'océan. Ces photos l'ont beaucoup choquée et l'ont rendue triste. Greta Thunberg parle d'un ton très inquiétant dans ses discours. Les changements climatiques viennent de la pollution des hommes.
Pourquoi les jeunes ne croient pas au réchauffement climatique ? Est-ce à cause des fakes news postées sur Internet ?
Un tiers des jeunes français ne croit pas au réchaufement climatique, d'après les résultats d'un sondage OpinionWay intitulé « Les Français sont-ils prêts à changer pour la planète ? ». Un article de la revue Usbek et Rica du 29 mars 2019 cite ces chiffres. Heureusement l'article parle d'une autre enquête, une " étude réalisée par Diplomeo début mars auprès de 1678 jeunes Français âgés de 18 à 23 ans [...] : 94 % des jeunes se disent inquiets face à la situation environnementale actuelle, et 83 % considèrent qu'ils font des efforts pour limiter leur impact sur l'environnement."
Beaucoup de jeunes savent que pour arrêter le changement climatique il faut prendre le train ou le bus sur des longues distances, consommer moins d'eau et recycler les produits, ...
On ne peut pas toujours croire les informations sur le réchauffement climatique. Par exemple la photo d'un ours polaire horriblement maigre a servi à montrer la diminution détait une fake news.
Beaucoup de gens s'intéressent plus à l’écologie qu’avant, y compris les jeunes.
Ethan Guerin, 6 A, collège Anne Frank, Plescop.