Les robots humanoïdes : utiles ou nocifs?
Aujourd'hui, une poignée de scientifiques et d'entreprises a créé des robots humanoïdes dotés d'une intelligence artificielle qui essaye de se rapprocher au mieux de celle des humains. Il y a l'exemple des MAO, de Chihira Aico, et récemment, de Sophia. Ce sont tous des robots humanoïdes sachant faire des gestes particuliers, et fonctionnant avec des algorithmes afin de répondre à des questions.
Le fait d'avoir une main d’œuvre humanoïde en réjouit plus d'un. Ces robots sont très performants et prennent ainsi la place que les humains ne peuvent prendre ou assurer. Par exemple, au Japon, il y a un grand manque dans le domaine du soin à la personne, dans la logistique et la comptabilité.
De plus, le fait que les robots travaillent ne demande pas de frais autres que ceux de la réparation et de l'entretien.
Cette avancée technologie prouve qu'il est possible de faire des choses que l'on pensait impossibles il y a vingt ans. Ces robots pourront donc sûrement un jour être nos égaux et nous aider dans les domaines où nous sommes limités. Cela prouve que la technologie avance et que, médicalement parlant, il sera bientôt possible de faire ce que, aujourd'hui, nous appelons des miracles.
Mais viennent maintenant les problèmes. Bientôt, et si les robots se perfectionnent encore, les emplois des hommes seront bientôt remplacés et il y aura une hausse du chômage. Cette hausse créera des générations d'humains au service des robots.
Une grande question se pose et effraie les scientifiques : qu'arrivera-t-il quand les robots auront égalisé les humains, voire les auront dépassés ? La réponse la plus logique est bien la plus terrible : si les robots deviennent nos égaux sur les plans physique et intellectuel, alors ils pourront nous dépasser. Ils se rendront alors compte que l'espèce humaine détruit la planète et se révolteront. Ce sera alors l'extermination de l'espèce humaine.
Mais il est vrai, cette technologie serait très bénéfique si on l'utilise à bon escient et si on en limite le développement. Une famille où il manque un parent pourrait se faire aider, se faire soutenir par un robot sur le plan financier (par son travail), ou avec les enfants, que le robot pourrait accompagner à l'école par exemple.
Pour conclure, la robotisation n'est pas néfaste pour l'homme tant que celui-ci se contente du strict minimum.
Elise Rondepierre, 3eC, Collège Cleunay, Rennes.
Mon article : info ou infox ?
Il s’agit d’un article d’opinion fondé sur de véritables informations, même s’il s’accompagne de quelques projections. J’ai écouté le podcast sur France culture de « Des robots humains, trop humains », et j’ai lu un article du Monde, « Que sait vraiment faire Sofia, le robot dont l’intelligence est contestée ? », écrit par Morgane Tual.